Kamar-Taj

Maître Barnes, comme il tient à se faire appelé, avait les yeux figés sur une salle qui avait un air anodin aux yeux du bibliothécaire. Il s'agissait, de façon si bien simpliste, d'une salle de méditation. Dans cette dernière se trouve un livre posé sur un autel ancestrale, dit Wong lorsque la question lui fût posée. Celui-ci fit un signe de tête à Barnes qui le traduisit en une incitation à rentrer dans la pièce tant bien sinistre que mystérieuse. Cet endroit qui paraissait quasi comme inutile pour l'un, semblait intéresser vraiment l'autre. Barnes, qui avait le reste de la journée de libre. Il se décida donc à le passer à méditation, en lisant le livre d'abord. Après une heure, il avait finit sa séance de lecture, donc laissa la place l'application de cette culture. La clé de la méditation expliquée dans l'ouvrage ancien, était la concentration et le calme. Alors, plein de confiance en soi, Barnes se relâcha et se mit en profonde concentration. Environ une minute après, le mystique en lui avait opéré : cercles et lianes oranges tournent à présent autour de lui. Il sentit ses pouvoirs de ses pierres d'Infinité qui éclatèrent, une explosion supposée volontaire suivit, créant une onde. Mais Barnes avait disparu dans un grand silence, malgré le bazar physique.

Pour compenser le fait qu'il soit élève à Poudlard, et pour démontrer ses connaissances des forces occultes, Barnes décida de devenir un maître enseignant à ce qui est, selon lui, LA meilleure école de magie mystique qui puisse être. Sa candidature proposée quelques jours plus tôt fût acceptée ce jour. Lorsqu'il arriva pour se familiariser avec les lieux, le bibliothécaire Wong lui ouvrit la porte :
"Je vous souhaite la bienvenue à Kamar-Taj, maître Barnes. Suivez moi, je vais vous montrer votre salle à priori habituelle."
Après la visite des locaux quelque peu oubliés par le nouvel enseignant, un dernier endroit restait à visiter :
"Voici la bibliothèque, MA salle habituelle, j'en suis le gardien mais bien entendu, vous pouvez prendre autant de livres autorisés que vous désirez, à conditions que vous les rendiez assez tôt, ou du moins pas trop tard..."
Il fût interrompu par le silence d'un Barnes ignorant, qui ne lui prêtait pas attention, bien trop occupé à regarder autre chose...