Salle Commune de Gryffondor

-perd son sang froid- Si je n'avais pas ete renvoyer de Fiore a cause de la Lullaby je ne serai jamais venu a Poudlars ! Rien ne serai arriver ! Je serai chez avec mes parents, ma guild et mes meilleurs amis d'enfance ! Mais il ya eu la Lullaby donc c'est arriver ! On y peut rien

-la regarde, les yeux rouges de colère mal placé- Tu regrettes d'être venue ici ? C'est ça ? Tu regrettes de nous avoir rencontré ? De M'avoir rencontré ? C'est ça que tu es en train de me dire ?-des larmes incontrôlables apparaissent dans ses yeux-

Non je ne regrette rien ici ! Rien mais ce que je veut dire c'est que c'est a cause d'une guerre que je suis la donc c'est a la base pas de mon plein gré mais maintenant si je devais rester je dirai oui avec plaisir ! Pour vous.. pour toi.. -baisse la tête -

-soupire- J'ai besoin prendre l'air...-sort vers le lac noir-

-soupire et la regarde partir- -donne un gros coup de poing dans le mur- ahhh !! Pourquoi je suis aussi stupide ?!

-seree les dent et le poing et vas sur le rebord de la fenêtre, ramenant contre elle ses genoux et y enfouissant sa tete-

-pense a tout se qu'elle aurai pu dire ou faire de travers-

-lève la tête des larme au coin de yeux- -se dit a elle meme- pourquoi sa se passe comme sa. -la fenêtre et le rebord gelé sous l'effet de la tristesse -

-rentre dans la salle d'un pas toujours décidé, s'arrête devant l'entrée et interpelle Jay- Jay !

-entend Marie et la voit sur le pas de la porte- Marie ?..

-s'avance vers elle d'un pas limite rageur- -lui attrape la nuque sans délicatesse et contrairement a ses gestes brusques, dépose ses lèvres sur celle de Jay de manière douce-

-après la tornade, s'attend la moins du monde a se quet Marie lui fasse sa- -malgré tout se laisse faire et continue de pleurer, larme de tristesse devenu des larmes de joie-

-n'arrive pas a s'arrêter de pleurer de joie et saute au cou de Marie- je suis tellement heureuse...

-rattrape Jay et la sert contre elle sans rien dire-

-la serre dans ses bras, heureuse comme jamais, sans rien dire, laissant le temps les bercer-

-lui dépose un doux baiser dans le creux du cou-

-les lui rend dans le cou, puis sur les levres, aussi tendrement que les sien-

Re

Hum bon a plus

-la laisse faire en rougissant-
Re et à plus Lee